Université, composantes et services
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L’engagement, fil rouge de la rentrée universitaire 2015-2016

Tout comme la solidarité, mise à l’honneur l’année dernière, l’engagement est une valeur-phare de l’Université de Strasbourg. En cette rentrée, Alain Beretz a tenu à le rappeler au personnel, aux enseignants-chercheurs et à tous les étudiants de l’Université de Strasbourg, réunis pour la première fois lors d’une cérémonie d’ouverture.

Aurélie Vernier, Marion Hurier et Antoine Schmitt rayonnent. Ces trois étudiants ont reçu leur Diplôme universitaire de l’engagement étudiant (DUEE)*, mercredi, qui récompense leur investissement de plusieurs années dans la vie associative universitaire : organisation de ciné-club et du festival Chacun son court pour Aurélie, du concours d’éloquence Oratio pour Antoine, de la semaine d’accueil des étudiants de physique pour Marion, fonctions au sein de leurs UFR ou du Crous…À l’Université de Strasbourg, l’engagement se porte en étendard, à la manière de la faluche constellée d’insignes que Marion arbore fièrement. C’est ce qu’a tenu à rappeler le président Alain Beretz lors de son discours inaugural de rentrée, prononcé avant la distinction de ces quatre étudiants, dans l’amphithéâtre Cavaillès. Un symbole fort. Cavaillès, résistant, « a conjugué science et engagement », a rappelé Alain Beretz, avant d’annoncer que l’université vient de s’associer à l’Eurométropole pour accueillir les réfugiés de Méditerranée. « Inscriptions gratuites, suivi personnalisé, aides sociales et à l’orientation, cours de français langue étrangère… » Les moyens d’aider sont multiples, « et existent déjà parmi les enseignants-chercheurs, qui tendent la main au quotidien à des étudiants en difficulté, sans que cela ne se sache forcément ». Et Pinar Selek, sociologue turque en exil, va être de nouveau accueillie, à l’Université de Strasbourg, pour y effectuer un post-doctorat. Autant de mains tendues spontanées qui s'inscrivent dans la tradition de la seule université médaillée de la Résistance.

Plus largement, l’engagement de l’université, c’est aussi la mobilisation quotidienne pour la réussite des étudiants, tous diplômes confondus, a rappelé Alain Beretz. Pour atteindre cet objectif, un programme de neuf axes d’action a été adopté, et l’évaluation continue intégrale tend à être généralisée. La poursuite de l’excellence et l’ouverture de l’université vers la cité et les publics les plus larges possibles sont aussi des principes portées haut.
Mais de tels engagements ne peut être réalisé sans moyens, a insisté le président, soulignant ainsi en creux la menace de restriction budgétaire qui pourrait impacter lourdement le budget 2016. D’autant que l’Université de Strasbourg continue à attirer : plus de 47 000 inscriptions sont attendues cette année, signe incontestable de son dynamisme et « de sa bonne santé », a souligné Jacques-Pierre Gougeon.

Au-delà des mots, l’engagement, c'est aussi l'énergie mise en œuvre par ceux qui animent chaque moment fort des journées de rentrée. Barbecue, visites du campus guidées par les étudiants, village des associations au son des mixs de l’ADN et des saveurs des plats africains, brocante solidaire ont encore une fois cette année sorti le campus de son sommeil estival. L'université bouge, et ça se voit !

*Maéva Baumann, absente lors de la cérémonie, a elle aussi été récompensée par ce diplôme.

La cérémonie d'ouverture de la rentrée 2015 en vidéo

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Retour à l'université : les images de la rentrée 2015

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L’Université de Strasbourg se dote d’un logiciel anti-plagiat

La solution de détection de similitudes Compilatio sera mise à la disposition des enseignants de l’université dès mi-septembre. Le département Ingénierie pédagogique et médiatisation de la Direction des usages du numérique accompagnera les usagers volontaires.

« Acte de quelqu'un qui, dans le domaine artistique ou littéraire, donne pour sien ce qu'il a pris à l'œuvre d'un autre » : telle est la définition du plagiat dans Le Larousse. En 2013, une étude européenne publiée par le Times Higher Education révélait que près d’un étudiant français sur deux (46 %) avait déjà fait usage du plagiat pendant son cursus. À cette époque, l’Université de Strasbourg, via la Direction des usages du numérique (DUN), avait déjà lancé un projet « plagiat » depuis deux ans. « Après une étude réalisée en juin 2011 auprès d’enseignants de l’université, nous avons mis en place un groupe de travail pour réfléchir à des outils de prévention et de détection du plagiat, explique Philippe Portelli, le directeur de la DUN Nous avons ensuite contacté les différents fournisseurs de solutions de détection de similitudes et organisé une phase de tests  qui a donné lieu à la rédaction d’un rapport rendu en juillet 2012. » Faute de moyens centraux à l’époque, les composantes qui le souhaitaient se sont dotées chacune de leur côté du logiciel de leur choix. 

Aboutir à un degré d’exigence partagé sur le plagiat 

L’obtention d’une enveloppe financière via l’Initiative d’excellence, il y a quelques mois, a permis de relancer l’idée de disposer d’une solution unique pour l’ensemble de l’université. Le logiciel Compilatio a donc été choisi et sera mis à la disposition des enseignants de l’université dès la mi-septembre prochain. « Il s’agit d’une solution de détection de similitudes ; il suffit donc de déposer le document dans le logiciel qui, à partir d’un algorithme, analyse les éléments de texte et produit un rapport avec un pourcentage de similitudes, en indiquant les sources identifiées en cas de doutes », explique Philippe Portelli.
Cette mise en œuvre s’accompagnera d’un plan de soutien auprès des enseignants ; un ingénieur a été recruté dans ce contexte, au sein de la DUN, en avril dernier. Un bilan d’étape sera fait au printemps prochain à partir des retours d’usages, notamment pour définir quelles suites donner à la mise à disposition généralisée de cette solution. « La prochaine étape consiste à réunir un groupe politique pour définir une position de l’université sur le plagiat ; l’idée étant d’aboutir à un degré d’exigence partagé à l’université qui sera affiché clairement », insiste Philippe Portelli.

Floriane Andrey 

  • Contact pour toute information : département Ingénierie pédagogique et médiatisation de la DUN par courriel

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Renommage des listes de diffusion institutionnelles

Depuis le mercredi 26 août 2015, les listes de diffusion institutionnelles (uds-xyz@unistra.fr), ont été renommées sans le préfixe "uds".

Cette démarche s’inscrit dans le cadre d'une d'harmonisation du nom des listes institutionnelles, approuvée par la Direction générale des services. En effet, l'acronyme de l'Université de Strasbourg est "Unistra" et non pas "uds".
Lors des envois de courriel à ces listes, il ne faut plus dorénavant utiliser uds-xyz@unistra.fr mais xyz@unistra.fr. Un tableau récapitulatif de toutes les listes concernées est disponible.
Lors de la réception des courriels envoyés sur ces listes, la mention "Unistra-xyz" s'affichera entre crochets en ouverture de la ligne de "sujet", comme c'est le cas pour uds-personnels aujourd'hui. [uds-personnels] message canicule et forte chaleur devient : [Unistra-personnels] message canicule et forte chaleur. Ainsi, lorsque l'on écrira ou répondra à un courriel d'une ancienne dénomination de liste, on recevra automatiquement un message informant du changement de nom de cette liste, avec un lien vers le tableau de toutes les listes concernées.

  • Contact : courriel ou 03 68 85 43 21 

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Le rapport d'activité 2014-2015 de l'Université rendu public

L'Université de Strasbourg vient de publier son rapport d'activité 2014-2015, photographie des activités de l'université pour l'année universitaire.

À travers des données chiffrées, des photographies légendées, des interviews et des articles thématiques, ce document de 44 pages met en lumière l'avancée des projets mis en œuvre au titre de la stratégie de l'établissement autour d'une idée : « Dépasser les frontières ».

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Tôyô-Strasbourg : 30 ans de coopération interuniversitaire

Cette année, les universités de Strasbourg et Tôyô de Tôkyô célèbrerent le 30e anniversaire de leur convention de coopération scientifique et d’échanges d’étudiants, du 16 au 18 septembre. Pour l'occasion, Takemura Makio, président de l’Université Tôyô, sera présent à Strasbourg.

  • Le programme de ces trois jours de célébration de l'amitié interuniversitaire franco-nipponne est disponible.

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Opération 5 en 1 pour les bibliothèques de sciences historiques

Les cinq bibliothèques d’histoire spécialisée situées au premier étage du Palais universitaire vont disparaître au profit d’une grande et unique bibliothèque de recherche en histoire d’ici au mois de mars 2016. 

Histoire médiévale, histoire moderne, histoire contemporaine, histoire d’Alsace et histoire des religions : actuellement, ces cinq bibliothèques ont gardé une configuration un peu particulière qui date de la période allemande. Il s’agit de petites salles assez « cosy » surplombées d’une mezzanine, avec des ouvrages exposés tout autour et de vieilles tables en bois au centre. « C’est une configuration très charmante que tout le monde adore parce que tous les usagers se connaissent et sont familiers des ouvrages qui s’y trouvent », explique Benoît Tock, le doyen de la Faculté des sciences historiques. Pourtant, avec cet « éclatement » en plusieurs salles, le Service commun de la documentation (SCD) ne peut pas exercer correctement son travail de gestion. « Ce sont des vacataires qui assurent l’accueil dans ces bibliothèques, avec pour conséquence une ouverture hebdomadaire d’une quinzaine d’heures seulement en moyenne… Cela représente donc un coût de fonctionnement élevé, pour un service en fin de compte insuffisant, confie le doyen. Ce sont aussi des espaces qui sont parfois détournés pour d’autres usages … » 

Une ouverture d’au moins 50 heures par semaine 

Pour remédier à cela, la Faculté des sciences historiques et le SCD ont impulsé le regroupement de ces cinq entités en un seul et même ensemble, qui ira de la salle 136 à la salle 145, au premier étage du Palais U. « Il y aura une seule entrée, un seul accueil assuré par deux personnes du SCD, pour une ouverture espérée d’au moins 50 heures par semaine. Cela mettra aussi une distance physique nette entre la bibliothèque et les bureaux des enseignants. Ces derniers seront d’ailleurs rapprochés les uns des autres, pour favoriser la vie de la faculté », explique Benoît Tock.
« Au départ, nous avions imaginé un projet de petite taille qui nécessitait peu de moyens, mais entre-temps nous avons obtenu une enveloppe de l’Initiative d’excellence qui a donné une autre ampleur au projet. Ce soutien financier va nous permettre de renouveler tout le mobilier, avec notamment de nouvelles tables équipées de lampes individuelles et de prises électriques », confie Isabelle Laboulais, professeur d’histoire moderne chargée du projet. 

Une rénovation du sol au plafond 

L’opération de tri et de recomposition de collections, menée par le SCD et des vacataires*, a déjà démarré et se poursuivra pendant toute la durée des travaux, qui, eux, ne débuteront que début novembre. Toutes les salles concernées seront rénovées du sol au plafond, ainsi que tous les circuits électriques et électroniques.  Ce regroupement impliquera aussi de reprendre toutes les fiches des catalogues pour modifier la localisation des ouvrages. « Tous ne rentreront pas dans la nouvelle bibliothèque mais le déménagement n’entraînera évidemment aucune mise au pilon d’ouvrages ; certains seront simplement déplacés et conservés dans les magasins situés en rez-de-jardin du Palais U. Ils resteront consultables. », insiste Isabelle Laboulais.
À partir du mois d’avril prochain, les étudiants et les enseignants pourront profiter d’« un endroit plus propre, plus clair, mieux entretenu et plus souvent ouvert ». Cinq salles accueilleront les ouvrages et périodiques, d’autres seront dédiées au travail et la salle 136 sera réservée aux enseignements qui nécessitent un accès aux ouvrages. Et une des anciennes bibliothèques sera transformée en salle de ressources numériques, grâce à des fonds Idex.
Au cours de l’année universitaire 2015-2016, les étudiants de licence et de master de la Faculté des sciences historiques prépareront une exposition qui évoquera conjointement l’histoire des bibliothèques du Palais universitaire et les souvenirs que ces lieux de savoir ont laissé dans la mémoire de leurs usagers. 

Floriane Andrey 

*Crédits de vacation financés par l’Idex.

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Philosophie : une faculté en bonne forme

Croissance régulière des effectifs, collaborations interdisciplinaires et internationales : Franck Fischbach nous éclaire sur la Faculté de philosophie qu’il dirige depuis septembre 2014. 

Vous êtes doyen depuis un an. Comment ça se passe ?
Je suis arrivée à l’Université de Strasbourg en tant que professeur à la rentrée 2013 et un an plus tard, j’ai été élu doyen de la faculté… C’est une fonction que je découvre totalement car j’ai déjà dirigé une équipe de recherche, à Nice, mais jamais de composante. Une chance : c’est une petite faculté, nous nous connaissons donc tous très bien et mes collègues – administratifs et enseignants – me soutiennent beaucoup. Professeur depuis 2003, je me suis dit que c’était le bon moment pour moi de me dévouer à une tâche d’intérêt collectif. Ça prend du temps et ça oblige à faire des choix, notamment moins de recherche, mais je ne regrette pas du tout car la faculté se porte plutôt bien. 

Les effectifs sont en effet en hausse depuis quatre ans. Comment l’expliquez-vous ?
En 2014-2015, nous avons gagné 20 étudiants par rapport à l’année précédente et pour cette rentrée, en juin dernier, nous avions déjà 93 inscriptions définitives en première année de licence, soit dix de plus que l’année dernière. Cela montre bien l’attractivité de la discipline.  Je pense qu’il y a une réelle demande de philosophie dans la société contemporaine ; les représentants de cette discipline sont souvent amenés à intervenir sur diverses questions d’ordre social, politique, éthique, et cela donne une visibilité et une attractivité à la philosophie. Le fait qu’à l’Université de Strasbourg la philosophie soit une faculté à part entière, et non un département d’une composante, joue aussi en notre faveur. S’il y a peu de débouchés directs (les concours de recrutement en philosophie étant toujours aussi exigeants), notre composante offre une solide formation initiale et des compétences que les étudiants peuvent valoriser dans de nombreux métiers et que les employeurs recherchent. Un exemple parmi d’autres : un étudiant titulaire du master de philosophie embauché par une banque (!), un autre par une association, et ces cas ne sont pas rares. 

Votre prédécesseur, Edouard Mehl, parlait d’ouverture et de collaboration avec les autres composantes (lire L’Actu du 11 janvier 2013). Où en êtes-vous ?
Nous sommes en effet associés à plusieurs formations pluridisciplinaires. La troisième année de la licence Humanités, qui va ouvrir à la rentrée prochaine, propose notamment une spécialisation en philosophie. Pour renforcer notre implication dans le master d’Études médiévales interdisciplinaires, qui associe sept composantes (et est adossé à 9 équipes d’accueil et une UMR), nous accueillons à compter de cette rentrée, un maître de conférences spécialiste d’histoire de la philosophie médiévale et renaissante. Et un master Mondes anciens, qui réunit les sciences historiques, les théologies catholique et protestante, les lettres classiques et la philosophie, est en cours d’élaboration pour la rentrée 2016. Ces formations tendent à favoriser l’insertion professionnelle des étudiants mais renforcent aussi l’attractivité de notre composante et amènent des étudiants vers la philosophie. Et nous collaborons bien sûr avec l’École supérieure du professorat et de l'éducation pour le master MEEF-Philosophie. 

La faculté s’ouvre aussi à l’international. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Nous avons des liens très étroits avec la Faculté de philosophie de l’Université de Fribourg, dans la mesure où nous avons beaucoup de points forts en commun, notamment en ce qui concerne la phénoménologie, la philosophie allemande classique et la philosophie ancienne et médiévale ; nous nous sommes engagés ensemble dans la création d’un master commun de philosophie à l’horizon 2018 dans le cadre de la construction du campus européen.
Nous sommes aussi associés au programme en cours de soumission « Serior » (Security, Risk, Orientation) financé par le fonds Interreg V avec des établissements du Rhin supérieur. L’objectif est de créer un Institut supérieur d’études et de formation commun dans le domaine de la gestion des risques. Le dossier a été déposé dans le courant de l’été et nous attendons la réponse pour la fin de cette année, pour une mise en place de cet institut sans les murs sur fonds européens en janvier 2016. 

Propos recueillis par Floriane Andrey

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La saison culturelle est lancée avec le Suac

Le Service universitaire de l’action culturelle (Suac) vient de publier le calendrier des événements artistiques et culturels qui rythmeront le premier semestre de l’année universitaire.

Une programmation qui, au gré de débats, workshops et performances, invite à habiter, investir et s’investir dans son campus, désormais « vert et ouvert ». Plusieurs temps forts se profilent entre septembre et décembre : l’installation du métakiosque, qui promet de mettre le campus Esplanade sens dessus dessous, la résidence non mois prometteuse de l’Ososphère,  ou encore une douillette et gourmande nuit de Noël au cinéma.

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Visitez la nouvelle Faculté de chirurgie dentaire

Conjointement à son inauguration, lundi 21 septembre, la Faculté de chirurgie dentaire et le Pôle de médecine et de chirurgie bucco-dentaires ouvrent leurs portent au public.

Afin d'assister à un cours magistral (en présentiel ou par retransmission d'une intervention de chirurgie dentaire en direct), s'imaginer dans la peau d'un étudiant et découvrir les travaux pratiques sur simulateur, des visites guidées en petits groupes sont proposées, toutes les 20 minutes, de 13 heures à 17 heures.

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Nouveauté : le diplôme d’université de langues anciennes

La Faculté des sciences historiques, en partenariat avec les facultés de théologie protestante et des lettres, lance un DU en enseignement à distance Mondes antiques et médiévaux : langues anciennes, épigraphie, papyrologie.

Lorsque l’on étudie une société passée, l’accès direct aux textes, qu’il s'agisse de textes littéraires ou de documents d’archives, reste une exigence fondamentale de la recherche. Cet accès suppose toutefois la connaissance de la langue dans laquelle ils ont été écrits, et le déchiffrement des écritures utilisées.
L’Université de Strasbourg, qui propose un ensemble diversifié d’enseignements dans ce domaine, les ouvre désormais à l’extérieur, grâce à un diplôme d’université en enseignement à distance décliné en deux niveaux (quatre semestres) : 1 (débutants) et 2 (avancés). Il est assuré par les enseignants des facultés des sciences historiques, des lettres et de théologie protestante. Il est ouvert à toute personne désireuse d'acquérir ou de renforcer ses connaissances dans une (ou plusieurs) des spécialités du DU. Ce DU concerne les étudiants de licence ou de master, les doctorants qui souhaitent développer leurs connaissances en langues anciennes, les chercheurs plus confirmés, soucieux d'élargir ou de renforcer leurs compétences et le grand public intéressé par les langues anciennes.

 

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La deuxième édition de Justice en culture nous entraîne « Aux marges de la justice »

Quel point commun entre les Roms, les ouvriers des chantiers de la Coupe du monde au Qatar, les prisonniers de Guantanamo, les personnes souffrant de troubles mentaux ou encore les immigrés clandestins ? Ils sont, bien malgré eux, dans les limbes du système judiciaire. En marge de la société, donc en marge de la protection que tout citoyen est en droit d'attendre de la justice de son pays.
Pour la deuxième édition de son festival Justice en cultures, l'Institut d’études judiciaires (IEJ) s'aventure « Aux marges de la justice », à travers quatorze événements, dans presque autant de lieux de Strasbourg, un mois durant, du 15 septembre au 15 octobre. Invités prestigieux (le cinéaste Robert Guédigiuan, le publiciste Patrick Wachsmann ou encore Lydia Pflug, procureur adjoint au tribunal de grande instance de Strasbourg), tables rondes (du polémique « Faut-il supprimer le ministère de la justice » au plus interactif « Les marges judiciaires dans les films et séries américains »), parenthèses artistiques (projection de La Tête haute, d'Emmanuelle Bercot, présenté au dernier Festival de Cannes) et exposition de photographies se proposeront de faire la lumière sur ces zones grises.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2015

 Septembre Octobre
<strong>Conseil académique</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Congrès</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;/
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;22&nbsp;06
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;15&nbsp;13
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;7
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;/&nbsp;20
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong>
10 h - Vendredi
&nbsp;/&nbsp;16
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong>
9 h - Lundi
&nbsp;21&nbsp;/
<strong>Comité hygiène et sécurité des conditions de travail</strong>
14 h - Lundi
&nbsp;/&nbsp;05
<strong>Comité technique d'établissement</strong>
14 h - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;14

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Liens vers les lettres électroniques utiles